" La Forest est un extraordinaire village en ruine. Les maisons
témoignent encore de la beauté de la construction. Sa disparition a marqué ce lieu d’une profonde tristesse , ce ne sont pas seulement les bâtiments qui ont disparu mais avec eux le souvenir.
Lorsqu'ils tombent en ruine, au moins ce dernier demeure, même s’il se réduit à une empreinte de pied. Si la pierre est réutilisée ou si un nouveau bâtiment s’élève à l’emplacement de l’ancien,
une vie nouvelle surgit, mais tout raser c’est ne rien laisser. " C'est ainsi qu'Andy Goldsworthy dépeint l'écrin de sa dernière oeuvre pour Refuges d'art .